Le Mensuel! Astuce, Agenda, Plantes
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Technique du mois: Octobre; Les conditions pour un bon hivernage
Pour passer correctement la période hivernale (dans la région Poitou Charentes, de la mi-Novembre à la fin Janvier) les colonies d'abeilles devront être parfaitement préparées à affronter cette période difficile.
Les abeilles doivent être nombreuses et en bonne santé. Début septembre, on observe souvent un rebond sur l'étendue du couvain. Donc, rien ne doit entraver la ponte de la reine. La présence de pollen de qualité à cette période est primordiale (voir le rôle du lierre). Une visite sanitaire est indispensable pour faire le bilan. Le traitement anti-varroa est obligatoire (qu'il y ait beaucoup ou peu de varroas): ne prenez pas de risques. Les abeilles hivernantes doivent être résistantes (durée de vie en moyenne de 100 jours), donc rien ne doit altérer leurs performances.
Les provisions doivent être suffisantes et de qualité. Donc, attention aux récoltes tardives qui spolient une partie des réserves hivernales. Le miel doit être correctement disposé autour de la grappe. Il est aussi important qu'il y ait du pollen de qualité en réserve. Lors de la reprise de l'élevage début février, les abeilles ne pourront peut être pas sortir pour aller chercher du pollen indispensable pour le nourrissement des larves. On pense que l'on peut compenser facilement le manque de provisions par un apport de sirop. Le nourrissement peut être une bonne chose, mais aussi la pire des choses (voir une catastrophe à venir). Donc, il doit être fait à bon escient.
Le principe : le sirop ne doit pas boucher les berceaux (limitation de la ponte). La prise de sirop ne doit pas fatiguer les abeilles, surtout celles qui ont pour fonction de nourrir les larves et en aucun cas, les abeilles hivernantes doivent être sollicitées pour faire ce travail. La nature d'un sirop riche en saccharose (polysaccharide), donc qui va demander la sécrétion d'inverstase pour le réduire en sucres simples, engendre une diminution de l'espérance de vie des abeilles.
Le rôle des intempéries hivernales est faible en absence de couvain, il n'y a que des besoins en énergie thermique. Par contre, début février à la reprise de la ponte, la consommation va être multipliée par 3 à 5. La présence d'eau (condensation) est la principale difficulté pour les abeilles. Le choix des matériaux (le bois), le type de plancher (grillagé qui laisse échapper la condensation) doivent être appropriés. Pour éliminer l'eau, il faut une énergie considérable. La meilleure isolation étant une couche d'air, le rôle du couvre cadres et du toit qui ménage un coussin d'air est primordial. Bannir tout les gadgets qui favorisent les condensations et les nids à vermine sous les toits. Avec une cale de 1 cm à l'arrière, on aura une pente de 2 cm/mètre ce qui sera amplement suffisant pour évacuer l'eau sur la planche de vol.
Si l'on avait de la neige pendant plusieurs jours (ce qui est exceptionnel dans la région Poitou Charentes) faire un petit tour au rucher pour contrôler que les entrées ne sont pas bouchées.
Dernier conseil. En hiver, laisser tranquille les abeilles. C'est inutile de cogner sur le côté de la ruche pour entendre le bruissement. Faites plutôt un tour au rucher par une belle journée hivernale et vous regardez vos abeilles qui font un rapide vol de propreté.
Les abeilles doivent être nombreuses et en bonne santé. Début septembre, on observe souvent un rebond sur l'étendue du couvain. Donc, rien ne doit entraver la ponte de la reine. La présence de pollen de qualité à cette période est primordiale (voir le rôle du lierre). Une visite sanitaire est indispensable pour faire le bilan. Le traitement anti-varroa est obligatoire (qu'il y ait beaucoup ou peu de varroas): ne prenez pas de risques. Les abeilles hivernantes doivent être résistantes (durée de vie en moyenne de 100 jours), donc rien ne doit altérer leurs performances.
Les provisions doivent être suffisantes et de qualité. Donc, attention aux récoltes tardives qui spolient une partie des réserves hivernales. Le miel doit être correctement disposé autour de la grappe. Il est aussi important qu'il y ait du pollen de qualité en réserve. Lors de la reprise de l'élevage début février, les abeilles ne pourront peut être pas sortir pour aller chercher du pollen indispensable pour le nourrissement des larves. On pense que l'on peut compenser facilement le manque de provisions par un apport de sirop. Le nourrissement peut être une bonne chose, mais aussi la pire des choses (voir une catastrophe à venir). Donc, il doit être fait à bon escient.
Le principe : le sirop ne doit pas boucher les berceaux (limitation de la ponte). La prise de sirop ne doit pas fatiguer les abeilles, surtout celles qui ont pour fonction de nourrir les larves et en aucun cas, les abeilles hivernantes doivent être sollicitées pour faire ce travail. La nature d'un sirop riche en saccharose (polysaccharide), donc qui va demander la sécrétion d'inverstase pour le réduire en sucres simples, engendre une diminution de l'espérance de vie des abeilles.
Le rôle des intempéries hivernales est faible en absence de couvain, il n'y a que des besoins en énergie thermique. Par contre, début février à la reprise de la ponte, la consommation va être multipliée par 3 à 5. La présence d'eau (condensation) est la principale difficulté pour les abeilles. Le choix des matériaux (le bois), le type de plancher (grillagé qui laisse échapper la condensation) doivent être appropriés. Pour éliminer l'eau, il faut une énergie considérable. La meilleure isolation étant une couche d'air, le rôle du couvre cadres et du toit qui ménage un coussin d'air est primordial. Bannir tout les gadgets qui favorisent les condensations et les nids à vermine sous les toits. Avec une cale de 1 cm à l'arrière, on aura une pente de 2 cm/mètre ce qui sera amplement suffisant pour évacuer l'eau sur la planche de vol.
Si l'on avait de la neige pendant plusieurs jours (ce qui est exceptionnel dans la région Poitou Charentes) faire un petit tour au rucher pour contrôler que les entrées ne sont pas bouchées.
Dernier conseil. En hiver, laisser tranquille les abeilles. C'est inutile de cogner sur le côté de la ruche pour entendre le bruissement. Faites plutôt un tour au rucher par une belle journée hivernale et vous regardez vos abeilles qui font un rapide vol de propreté.
Conseils pratiques du mois: Octobre; Les réserves hivernales
Quelle est la quantité de miel nécessaire dans une ruche, pour que les abeilles puissent passer un hiver sans encombres ?
En Poitou Charentes les chiffres moyens de la consommation de miel sont de 35 à 40 grammes par jour pendant la période sans couvain ou avec du couvain résiduel de quelques centimètres carrés et ce pendant 80 à 90 jours, puis 120 à 150 grammes par jour lors de la reprise de la ponte et avec du couvain sur plusieurs cadres et ce pendant 30 à 40 jours. Les premières ressources récoltées en mars vont permettre d'équilibrer progressivement les dépenses de l'élevage. Il faut aussi savoir que la consommation peut aussi être très différente selon les races d'abeilles. Donc, les besoins sont de l'ordre de 8 à 10 kg. Mais il faut prendre en compte qu'en période froide, il y a des provisions inaccessibles. Donc, 15 kg de réserve en miel semble être un bon chiffre.
> 18 kg – Les réserves sont trop importantes avec un risque de restriction de l'espace de ponte.
14 kg à 17 kg – Les réserves sont suffisantes (néanmoins à 14-15 kg, on surveillera surtout si à la mi-février on a une période froide.
12 kg à 14 kg – Pas de problème pour le début de l'hivernage, mais on sera vigilant à la reprise de la ponte.
10 kg à 12 kg – Un pain de candi sur le trou de nourrissement s'imposera à la mi-janvier pour sécuriser la colonie. Voir son remplacement dans le courant février.
8 kg à 10 kg – Logiquement, on aurait dû faire quelque chose en septembre. Néanmoins, la colonie pourra être soutenue par la présence d'un pain de candi. Attention ! Si la colonie est dynamique, le pain de candi fin janvier et en février va être très vite pris et il ne faut pas tarder à le remplacer, car il est évident que la ruche a très peu de réserves.
< 8 kg – Logiquement, une telle colonie dans une ruche 10 cadres aura d'immenses difficultés pour maintenir la température de la grappe. Première solution : Mettre 1 ou 2 partitions pour réduire la colonie sur 8 ou 9 cadres, pose d'un pain de candi. Deuxième solution : Passer la colonie en ruchette 6 cadres et placer un pain de candi sur le couvre cadres, protégé par un nourrisseur couvre cadres retourné.
Au regard de ces chiffres, il est évident qu'à la mi-septembre on doit optimiser les réserves par une technique de nourrissement, pour que les ruches aient des réserves suffisantes. Puisque, ce sera pour du stockage, l'apport en sirop se fera avec une faible teneur en eau. La main d'œuvre sollicitée, devra être celle des vieilles d'abeilles d'été. Attention ! Épargner ce travail aux les jeunes abeilles, ce qui va diminuer leurs performances. Elles doivent être mobilisées pour un élevage des abeilles hivernantes de qualité. Attention ! Le rendement du sirop est de 60% environ. Ce qui veut dire qu'un apport de 5 kg de sirop donnera un accroissement des réserves de 3 kg environ. La quantité apportée ne doit pas boucher les berceaux. Même si ce n'est pas toujours facile (temps et déplacements), préférer 2 apports de 3 kg espacés de 8 jours à un seul de 6 kg.
Un petite astuce : Vous avez une ruche A avec 20 kg de provisions et une autre B à 12 kg. Dans la Ruche A on enlève un cadre plein environ 3,5 kg et dans B un cadre pratiquement vide environ 0,5 kg. On croise ces 2 cadres. La ruche A fera 17 kg, la ruche B sera à 15 kg.
En Poitou Charentes les chiffres moyens de la consommation de miel sont de 35 à 40 grammes par jour pendant la période sans couvain ou avec du couvain résiduel de quelques centimètres carrés et ce pendant 80 à 90 jours, puis 120 à 150 grammes par jour lors de la reprise de la ponte et avec du couvain sur plusieurs cadres et ce pendant 30 à 40 jours. Les premières ressources récoltées en mars vont permettre d'équilibrer progressivement les dépenses de l'élevage. Il faut aussi savoir que la consommation peut aussi être très différente selon les races d'abeilles. Donc, les besoins sont de l'ordre de 8 à 10 kg. Mais il faut prendre en compte qu'en période froide, il y a des provisions inaccessibles. Donc, 15 kg de réserve en miel semble être un bon chiffre.
> 18 kg – Les réserves sont trop importantes avec un risque de restriction de l'espace de ponte.
14 kg à 17 kg – Les réserves sont suffisantes (néanmoins à 14-15 kg, on surveillera surtout si à la mi-février on a une période froide.
12 kg à 14 kg – Pas de problème pour le début de l'hivernage, mais on sera vigilant à la reprise de la ponte.
10 kg à 12 kg – Un pain de candi sur le trou de nourrissement s'imposera à la mi-janvier pour sécuriser la colonie. Voir son remplacement dans le courant février.
8 kg à 10 kg – Logiquement, on aurait dû faire quelque chose en septembre. Néanmoins, la colonie pourra être soutenue par la présence d'un pain de candi. Attention ! Si la colonie est dynamique, le pain de candi fin janvier et en février va être très vite pris et il ne faut pas tarder à le remplacer, car il est évident que la ruche a très peu de réserves.
< 8 kg – Logiquement, une telle colonie dans une ruche 10 cadres aura d'immenses difficultés pour maintenir la température de la grappe. Première solution : Mettre 1 ou 2 partitions pour réduire la colonie sur 8 ou 9 cadres, pose d'un pain de candi. Deuxième solution : Passer la colonie en ruchette 6 cadres et placer un pain de candi sur le couvre cadres, protégé par un nourrisseur couvre cadres retourné.
Au regard de ces chiffres, il est évident qu'à la mi-septembre on doit optimiser les réserves par une technique de nourrissement, pour que les ruches aient des réserves suffisantes. Puisque, ce sera pour du stockage, l'apport en sirop se fera avec une faible teneur en eau. La main d'œuvre sollicitée, devra être celle des vieilles d'abeilles d'été. Attention ! Épargner ce travail aux les jeunes abeilles, ce qui va diminuer leurs performances. Elles doivent être mobilisées pour un élevage des abeilles hivernantes de qualité. Attention ! Le rendement du sirop est de 60% environ. Ce qui veut dire qu'un apport de 5 kg de sirop donnera un accroissement des réserves de 3 kg environ. La quantité apportée ne doit pas boucher les berceaux. Même si ce n'est pas toujours facile (temps et déplacements), préférer 2 apports de 3 kg espacés de 8 jours à un seul de 6 kg.
Un petite astuce : Vous avez une ruche A avec 20 kg de provisions et une autre B à 12 kg. Dans la Ruche A on enlève un cadre plein environ 3,5 kg et dans B un cadre pratiquement vide environ 0,5 kg. On croise ces 2 cadres. La ruche A fera 17 kg, la ruche B sera à 15 kg.
Agenda du mois: Mars; Fiscalité : Le Forfait Agricole – Régime du Forfait
La déclaration "2342K" doit être déposée à votre centre des Impôts avant le 1er Avril.
En cas de changement courant d'année concernée, à la rubrique A, indiquer votre Numéro d'immatriculation à la Caisse de Mutualité Sociale Agricole et votre Numéro SIRET.
Pour l'apiculture remplir en page 2, la rubrique "Productions spécialisées, APICULTURE – AA01A01", en indiquant le nombre de ruches de production.
Les imprimés sont envoyés par les services fiscaux si vous avez fait une déclaration l'année précédente.
Cet imprimé - Référence 2342K (Cerfa 10264) - est aussi disponible par téléchargement sur le site http://vosdroits.service-public.fr/professionnels-entreprises/R14114.xhtml.
Voir aussi le Cerfa 11222 - 2342 CK : http://vosdroits.service-public.fr/R1282.xhtml .
Nos adhérents peuvent aller voir un exemple d'imprimé dans la rubrique "Articles" -> "Fiscalité".
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Pour l'apiculture remplir en page 2, la rubrique "Productions spécialisées, APICULTURE – AA01A01", en indiquant le nombre de ruches de production.
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Dernière édition (#6) par Admin Webmaster le 2015-01-27 23:43:57: versions des n° cerfa enlevés
Astuce du mois: Mars; Faire bâtir des cadres à couvain
Dans le cadre du renouvellement des cadres, il est primordial de faire bâtir de nouveaux cadres par les abeilles.
Il faut profiter de la dynamique d'extension qui précède la floraison du colza
(de mi-mars à début avril).
Le cadre avec cire gaufrée doit être inséré en limite de couvain. Le grattage du cadre de rive avec une fourchette, stimule l'activité de la colonie.
Attention ! Le premier cadre doit être largement construit, avant de répéter l'opération par exemple de l'autre côté du couvain.
Le créneau pour la construction est très court et l'opération doit être terminée avant la pose de la première hausse sur le colza.
Il faut profiter de la dynamique d'extension qui précède la floraison du colza
(de mi-mars à début avril).
Le cadre avec cire gaufrée doit être inséré en limite de couvain. Le grattage du cadre de rive avec une fourchette, stimule l'activité de la colonie.
Attention ! Le premier cadre doit être largement construit, avant de répéter l'opération par exemple de l'autre côté du couvain.
Le créneau pour la construction est très court et l'opération doit être terminée avant la pose de la première hausse sur le colza.
Plante méllifère du mois: Mars; Quelques plantes de mars en vienne...
Quelques photos de plantes de mars en Vienne
© Henri Richard ; Fleur de pissenlit
© Henri Richard; chatons de noisetier
© Henri Richard ; saule marsault mâle
© Henri Richard ; Prunus
© Henri Richard ; Epine noire (prunelle)
Dernière édition (#1) par Admin Webmaster le 2011-03-17 21:32:12: réordonnement des photos
Conseils pratiques du mois: Mars; Accessibilité du rucher
L'accessibilité dans un rucher est primordiale. Un couloir de circulation derrière les ruches est indispensable et encore mieux si le véhicule peut se déplacer dans cet espace ! Cela facilitera les opérations de manutention qui dans certains cas sont importantes, par exemple lors de la récolte.
© 2011; H.Richard; Accessibilité
Conseils pratiques du mois: Mars; Installation du rucher
Un rucher, c'est un ensemble de ruches disposées pour des conditions d'intervention optimum, avec quelques règles simples d'ergonomie pour le confort de l'apiculteur.
Entre autres, pour un rucher sédentaire avec une hauteur de support de ruche de 30 cm (adapté à un opérateur de 1,70 à 1,75 m), réalisé avec 2 parpaings de 20 posés de champ et de niveau et 2 parpaings de 10 horizontaux, donnent un support parfaitement stable.
Sur la photo, en partie droite, on remarque des supports simples de 20 pour accueillir des ruches de transhumance.
Entre autres, pour un rucher sédentaire avec une hauteur de support de ruche de 30 cm (adapté à un opérateur de 1,70 à 1,75 m), réalisé avec 2 parpaings de 20 posés de champ et de niveau et 2 parpaings de 10 horizontaux, donnent un support parfaitement stable.
Sur la photo, en partie droite, on remarque des supports simples de 20 pour accueillir des ruches de transhumance.
© 2011; H.Richard; Ergonomie du Rucher
Conseils pratiques du mois: Mars; Prêt pour l'intervention
L'apiculteur regroupe dans un panier ou une boîte facile à transporter les quelques outils indispensables. Il faut citer l'outil essentiel : le lève cadres. Le type américain, qui a une bonne tenue en main, convient parfaitement.
Un enfumoir en bon état de fonctionnement est l'accessoire indispensable pour toutes les interventions. C'est la règle numéro 1 de la sécurité au rucher.
Le combustible doit donner une fumée blanche et froide pour calmer les abeilles et il ne doit pas apporter d'odeurs désagréables, voire nocives pour les abeilles et surtout ne pas donner un mauvais goût de fumée au miel.
Les combustibles d'origine végétale doivent être privilégiés. Règle numéro 2, il faut fournir la quantité de fumée nécessaire et suffisante, sachant qu'une abondance démesurée pourra produire l'effet inverse sur les abeilles.
Un enfumoir en bon état de fonctionnement est l'accessoire indispensable pour toutes les interventions. C'est la règle numéro 1 de la sécurité au rucher.
Le combustible doit donner une fumée blanche et froide pour calmer les abeilles et il ne doit pas apporter d'odeurs désagréables, voire nocives pour les abeilles et surtout ne pas donner un mauvais goût de fumée au miel.
Les combustibles d'origine végétale doivent être privilégiés. Règle numéro 2, il faut fournir la quantité de fumée nécessaire et suffisante, sachant qu'une abondance démesurée pourra produire l'effet inverse sur les abeilles.
© 2011; H.Richard; Matériel pour l'intervention
